Ah les papas qui brûlent la vie par les deux bouts… j’en connais un rayon. Je n’en parle jamais, de mon père. Parce que tu vois, je dois sans doute l’avoir regardé avec ces yeux-là et que depuis, j’ai bien compris qu’il n’en avait que trop rien à faire. Pourtant, tu vois, je suis sûre qu’il avait tellement à partager, tellement. Mais bon, ce n’est ni l’endroit ni le lieu pour commencer une thérapie hein. Alors haut-les-coeurs et profitons de nos fils, c’est tellement bon!
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